1998

Les mosquées de Bani – Burkina Faso – Novembre 1998 Entendre l'appel du muezzin à l'aube dans le désert est quelque chose d'envoûtant, que l'on soit croyant ou pas. Nous avons eu ce privilège au petit matin, dans le désert du nord Faso. Privilège mérité, car la piste menant au Sahel n'est pas facile, poussiéreuse et cahotante à souhait. Quand nous sommes enfin arrivé à Bani, en fin d'après-midi, les baraques abandonnées d'un ancien camp de chantier pétrolier nous tendaient les bras. Miracle, les douches fonctionnaient, et je n'ai pas souvenir d'avoir été aussi rouge de poussière que ce soir là. Un peu plus tard, trois touaregs en bivouac à côté du camp nous invitaient à boire le thé et écouter la musique du désert. Envoûtant, c'est le mot juste.

Les mosquées de Bani – Burkina Faso – Novembre 1998
Entendre l'appel du muezzin à l'aube dans le désert est quelque chose d'envoûtant, que l'on soit croyant ou pas. Nous avons eu ce privilège au petit matin, dans le désert du nord Faso. Privilège mérité, car la piste menant au Sahel n'est pas facile, poussiéreuse et cahotante à souhait. Quand nous sommes enfin arrivé à Bani, en fin d'après-midi, les baraques abandonnées d'un ancien camp de chantier pétrolier nous tendaient les bras. Miracle, les douches fonctionnaient, et je n'ai pas souvenir d'avoir été aussi rouge de poussière que ce soir là. Un peu plus tard, trois touaregs en bivouac à côté du camp nous invitaient à boire le thé et écouter la musique du désert. Envoûtant, c'est le mot juste.