1993

Le temps n'a pas de prise … sortie de messe à Nuku Hiva, aux Marquises, enfants jouant sous les cocotiers à Takapoto, aux Tuamotu – juin 1993 « ...La pluie est traversière Elle bat de grain en grain Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin Et par manque de brise le temps s'immobilise Aux Marquises …/... Les pirogues s'en vont, les pirogues s'en viennent Et mes souvenirs deviennent ce que les vieux en font Veux tu que je dise gémir n'est pas de mise Aux Marquises... » L'une des plus belles chansons de Jacques Brel, « Les Marquises », qui me trotte toujours dans la tête quand je repense à ce périple dans le Pacifique qui nous mena des Iles Sous Le Vent aux Tuamotu, en passant par les Marquises. Sur la photo du bas, on distingue l'Aranui, cargo-mixte qui assurait transport du coprah et des voyageurs. J'ai adoré les Marquises, ces îles perdues, la gentillesse des habitants, la ferveur des sermons pendant la messe, la pluie chaude sur la végétation luxuriante, les piqûres des « nono », ces minuscules moustiques qui pullulent sur les plages. … « et mes souvenirs deviennent ce que les vieux en font... »

Le temps n'a pas de prise … sortie de messe à Nuku Hiva, aux Marquises, enfants jouant sous les cocotiers à Takapoto, aux Tuamotu – juin 1993

« ...La pluie est traversière
Elle bat de grain en grain
Quelques vieux chevaux blancs qui fredonnent Gauguin
Et par manque de brise le temps s'immobilise 
Aux Marquises …/...
Les pirogues s'en vont, les pirogues s'en viennent
Et mes souvenirs deviennent ce que les vieux en font
Veux tu que je dise gémir n'est pas de mise
Aux Marquises... »

L'une des plus belles chansons de Jacques Brel, « Les Marquises », qui me trotte toujours dans la tête quand je repense à ce périple dans le Pacifique qui nous mena des Iles Sous Le Vent aux Tuamotu, en passant par les Marquises. Sur la photo du bas, on distingue l'Aranui, cargo-mixte qui assurait transport du coprah et des voyageurs. J'ai adoré les Marquises, ces îles perdues, la gentillesse des habitants, la ferveur des sermons pendant la messe, la pluie chaude sur la végétation luxuriante, les piqûres des « nono », ces minuscules moustiques qui pullulent sur les plages. … « et mes souvenirs deviennent ce que les vieux en font... »